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NOM & APPELLATION ◈ Azrael Lorthief, le nom vestige d'une vie passée, oublié de tous, gravé dans le cœur de pierre, disparate face aux milles identités abusées. L'ombre qui déchire la nuit n'a d'autre appellation que celle de Maître-Voleur. AGE ET DATE DE NAISSANCE ◈ Personne ne connaît les origines du mystérieux, gamin abandonné qui hurle des poumons douloureux, seul survivant du naufrage qui englouti l'épave autant que les origines. Il décide de lui même que trente-six années sont portées par sa carcasse qui se traîne de terres en terres, semant derrière lui les cris de l'injustice. Le fugitif qui appartient à chaque terre sur lequel ses pieds se posent. LIEU DE NAISSANCE ◈ Il clame la diversité, celui qui considère que ses origines sont diverses et éparses, que le monde est son berceau. C'est pourtant Neverland qui fut sa terre d'accueil. RACE ◈ Il est l'humain aux os qui se brisent, au palpitant fragile qui sommeille sous la peau qui se déchire avec aisance. Pas de magie derrière les doigts agiles qui dérobent, l'imaginaire de l'âme rusée. ROYAUME ◈ Vagabond, profiteur des guerres qui agitent chaque royaume pour le bénéfice de ses affaires personnelles, il ne reste jamais très longtemps au même endroit. ALLÉGEANCE ◈ Jamais il ne prêtera allégeance à d'autre qu'à lui-même, l'égoïste qui est seul maître de sa vie, celui qui n'accepte d'autre forme d'autorité que la sienne. Transgresseur des règles, violateur de la morale, il ne jure que par ses propres valeurs. PROFESSION ◈ Il est le voleur le plus talentueux de son temps, celui dont la prime augmente autant que son ambition. On peut l'appeler pirate, brigand, pilleur ; les noms sont moindres face aux méfaits. STATUT SOCIAL ◈ Le libertin au cœur volage. Pas d'attaches pour le solitaire invétéré, celui dont la mécanique du cœur s'est enrayée il y a bien longtemps. Séducteur et trompeur, détenteur des cœurs que les dames lui confient, qu'il brise sans regret. CONTE ◈ Le maître-voleur FAMILLE ◈ Il n'a pas de famille, Azrael. La solitude est la plus vieille alliée, au méfiant qui n'accorde sa confiance qu'à lui-même. Il y avait les enfants perdus, avant. Une famille qui n'en était pas une ; toujours la solitude parmi la multitude. Parfois, compagnons de voyages, pirates qu'il côtoie. Éphémères relations qui sont les plus belles, les plus admirables.
   

◈ Que pensez-vous du conflit entre le roi Charming et l'empereur Phillip ? Il n'en a que faire, Azrael, des conflits qui agitent les esprits de deux monarques gonflés d'orgueil. Il ne s'intéresse pas à la politique, n'est pas atteint par la peur et la révolte qui grandissent dans les cœurs perdus. Il ne voit que l'atout que cette guerre lui procurera ; le chaos engendré emmènera les âmes égarées se confier à sa fourberie, à faire marcher ses fallacieuses affaires. Soutenir l'un de ces deux imbéciles est une idée qui ne l'a jamais effleuré, pas plus que de s'engager pour éviter des victimes innocentes. Tout le monde meure un jour, ceux-là ne feront qu’accélérer l'échéance finale. Plaisir qu'il prend à être l'opportuniste rusé qui profite de la situation de crise.
   ◈ Qu'est-ce que représente pour vous la magie ? En avez-vous peur ? L'utilisez-vous ? Faudrait-il déjà qu'il ai peur de quelque chose, celui qui ne craint rien d'autre que la privation d'une liberté essentielle. Insensibilité du cœur qui bat dans sa poitrine, lueur froide dans le regard à la vue du malheur cruel qui s'abat sur tous. Il ne craint pas la mort, qu'il a frôlé trop de fois pour ne la considérer que comme une autre escale de son existence, et à partir de là, il ne peut craindre cette magie qui est seulement l'arme qu'emploient ceux qui n'ont pas la force de prendre l'épée, celle qu'ils pensent capable de tout prendre, alors que la certitude que l'intelligence maligne peut triompher de tout est ancrée dans l'esprit du voleur. Il peut l'utiliser, seulement sous forme d'objets magiques, si l'envie se présente.
   

PSEUDO & PRENOM ◈ Shamble AGE & RÉGION ◈ 17 ans & Normandie FRÉQUENCE DE CONNEXION ◈ (environ 5/7j). COMMENT AVEZ-VOUS CONNU SUR LE FORUM ◈ Bazzart. VOTRE AVIS ◈ J'en suis tombée amoureuse ; très bien construit, agréable pour mes petits yeux fatigués. Ceyyy tout beauu AVATAR ◈ Jared flawless Leto. CREDITS ◈ SWAN UN DERNIER MOT ◈ J'ai hâte de vous dépouiller
   

L'ouragan planait au dessus de leurs têtes, sinistres orages qui éclataient dans une cacophonie assourdissante. Le navire était balloté par les flots tumultueux qui semblaient animés d'une volonté propre, vagues damnées qui s'abattaient sur le pont avec violence, arrachant des corps du plancher fissuré aux abysses ténébreuses et glaciales. Les cris résonnaient, transpirant de peur et de rage forcenée : ordres hurlés qui se perdaient dans l'atmosphère d'apocalypse, derniers appels désespérés de ceux qui se précipitent vers leur fin ; réaction humaine face à l'approche inévitable de la dernière heure. Mais celui qui rompit plus que tous la mélodie monstrueuse de l'océan fut l'enfantin qui transperça la noirceur de la nuit par sa pureté déchirante. Il était l'anonyme, celui qui serrait la main d'un marin inconnu, abandonné par ses géniteurs, aussi seul que l'océan qui semait la mort. Il ne se souviendrait pas des mots rassurants de l'homme qui le berçait, ni des larmes qui coulaient des yeux amers de ce dernier, victimes innocentes du fou qui décida de se rendre à l'île maudite. Énième soubresaut qui eut raison de la force qui quittait le matelot, main engourdie par l'effort qui se détache avec violence de son appui, poupées de chiffon qui passent par dessus bord, rejoignant la multitude qui sombre. Craquement du bois qui se déchire sous la force du déferlement, déchirure des voiles qui sont moindres face au hurlement du déluge éclate à leurs oreilles. L'océan le maître des destins, le juge des existence qu'il condamne, puissance inégalée qui jette sa rédemption sur l'innocent.  


Les rires ne laissaient pas de place aux pleurs. La joie ne laissait pas la place aux doutes. Les questions étaient supplantées par les ordres. Ça aurait été un endroit fabuleux pour n'importe quel gamin. Pas de règles, pas d'ennui. Juste un immense et infini amusement. Il n'avait pas fait exception, lui qui n'avait rien connu de la vie après avoir erré pendant dix ans sur le pont d'un bateau, caché derrière une identité déserté, l'anonymat de l'abandon qui avait emprisonné sa jeunesse. Après dix années dans la solitude marine, quête de l'insensé, regards perdus mille fois sur l'océan pour éviter la brutalité des adultes à son égard, il avait trouvé une famille, sa famille. Il était plus enfant perdu que n'importe qui, l'audacieux qui donnait aux jeux un nouveau sens, qui plongeait tête baissée à la suite de Pan. Il était insensible à la cruauté qui régnait ; il la connaissait, l'avait longtemps côtoyée, adoptée. Peter Pan lui avait décerné le nom d'Azrael, lui avait donné l'impression d'être quelqu'un. Il ne les comptait plus, les années passées dans le village perdu, engouffré dans les possibilités que lui offrait la liberté absolue de ses actions. Ses rires résonnaient d'un écho aussi mélodieux que sinistre alors qu'il passait ses nuits à s'amuser, ne trouvant le sommeil que lorsque son esprit enfantin était trop fatigué pour résister à l'étreinte salvatrice des bras de Morphée. Puis, tout s'est fissuré, là où il s'est rendu compte que sa liberté était imparfaite. Là où il avait cru que les règles n'existaient pas, il y avait celles de Pan. Là où il avait cru qu'il n'avait pas d'ordre à recevoir, il y avait ceux de Pan. Ce dernier s'était rendu maître de lui, de ses envies et de son existence. Il l'avait gardé dans cette prison doré dont le métal commençait à fondre pour laisser apercevoir l'impureté terne d'un barreau rouillé. Trop rusé pour croire qu'il parviendrait à bout de Pan, il s'est contenté de petits méfaits ; agilité et discrétion pour leur jouer de tours à tous, semer la discorde entre certains sans que personne ne soupçonne l'instigateur des chamailleries. Il a continué à jouer ce rôle factice de joueur invétéré, à faire ce que Peter Pan attendait de lui, en haïssant ce visage comme il l'avait aimé.  L'attente a été utile. Il a eu James, l'enfant qui a fini par ouvrir les yeux, par rêver de révolte. Il a mené sa rébellion, le fou qui croyait que Pan allait se laisser défier impunément. Il savait comment cela allait finir, mais cela faisait bien trop longtemps qu'il ne se préoccupait plus que de lui-même pour avoir des remords face au bain de sang qui aurait certainement lieu. Il profita de la situation pour s'enfuir, pour déserter. Planche de bois améliorée pour limiter les chances de noyade, il partit en mer. Libre. Il riait de savoir que Pan était certainement au courant de sa fuite ; il savait tout, le maître de Neverland, il gardait toujours un œil sur son engeance. Mais une révolte était plus importante qu'une fuite et aussi puissant soit-il, il ne pouvait pas être à deux endroits au même moment. C'est le cœur léger que le traître jeta un dernier regard sur l'île maudite.

Accoudé à la table en bois, il gravait chaque détails de leurs visages dans sa mémoire. Neverland n'était plus qu'un lointain souvenir. Ramassé par un navire qui avait trouvé fort étrange un gamin seul au milieu de l'océan, il avait débarqué sur les terres de Slumberland avant de se mettre rapidement à chercher ses parents, ceux qui l'avaient abandonnés. Non pas pour connaître la raison de cette infamie, mais pour mettre des visages sur des noms restés trop longtemps vierges d'informations. Sans doute aussi pour donner un sens à une vie qui n'en avait plus depuis bien longtemps. Il avait voyagé pendant des mois et aujourd'hui, ils étaient en face de lui, mais il aurait tout aussi bien pu être leur petit fils, la différence d'âge entre eux creusée par la suspension de sa vieillesse lors des années passées à Neverland. « Qu'as-tu fais pendant toutes ces années ? » Pas une seconde d'hésitation, mensonge affable qui sort des lèvres traîtresses. « J'ai été élevé par un vieux pêcheur. Il m'a confié avant sa mort qui étaient mes parents. » Ils ne sauraient jamais que ses mains étaient tâchées de sang, son âme éternellement enfantine, rêvant toujours de liberté et de plaisirs. Que le vieux pêcheur n'avait jamais existé, que ce n'était pas lui qui lui avait donné le nom qu'il portait, qui avait fait de lui un enfant perdu. « Saches simplement que nous ne t'avons pas abandonné, mais que ta tante t'as enlevé à nous peu après ta naissance. Elle avait perdu son fils et désirait nous faire subir le même sort en te faisant disparaître. Elle est devenue aigrie mais peu importe. Tu es là, c'est tout ce qui compte. » La main maternelle vint caresser la joue crasseuse du voyageur enfantin avant de le regarder avec cette lueur affectueuse qu'il avait toujours rêvée sans en être le témoin. Il était de retour dans leurs vies, et eux venaient d'acquérir une place importante dans la sienne. Le bras de son père passa autour de ses épaules, et sa voix rauque résonna à ses oreilles. « Tu verras, nous allons former une belle famille ensemble. »


Un dernier regard pour la maisonnée et il avança. Il partait, s'enfuyait, comme il l'avait fait autrefois de Neverland. Sans prévenir. Il ne les comblaient pas de bonheur, et cela à cause de son caractère forgé par les années passées sur l'île maudite. On ne lui avait jamais appris à vivre normalement, à accepter toutes les tâches du quotidien. Il y avait toujours cette envie de s'amuser qui grandissait en lui, qui ne l'avait jamais quitté, et le village où ils vivaient n'avait de cesse de se plaindre du gamin mal élevé qui n'arrêtait jamais de jouer de mauvais tours à tout le monde, sans répit. C'était plus fort que lui ; il avait appris et pratiquer l'art des mauvaises farces pendant des années, et avait toujours été un joueur sans limite qui s'amusait du malheur des autres, à l'image de Peter. Il lui ressemblait d'ailleurs bien plus qu'il ne voulait l'admettre, incapable d'accepter l'ennui qui le rongeait chaque jour un peu plus près de ses géniteurs. Ces derniers commençaient d'ailleurs à l'agacer avec leurs réprimandes incessantes, leurs ordres qu'il ne parvenait jamais à respecter. Il était, au plus profond de lui, un homme libre qui n'aimait pas être ancré à quelque chose, qui n'aimait pas avoir des attaches. C'était là, la quinzaine passée, qu'il avait décidé de quitter cette vie qui ne lui convenait pas pour exercer dans l'art qu'il maîtrisait le mieux, d'utiliser sa ruse et son astuce pour gagner sa vie. Il se rendit à Fortroyal où il commença son commerce. Commençant par de simples vols d'étalage, il arriva bien vite à voler des personnes plus riches, jusqu'à le devenir lui même. Quinze années passèrent, durant lesquelles il n'arrêta pas d'amasser les trésors les plus improbables, sa propre fortune atteignant des sommets qu'il n'aurait pu imaginer. Connu dans tout le royaume, ses services étaient très demandés, bien qu'il n'acceptait que les offres les plus alléchantes, les mieux payées. Redoutés par les nobles, craint par tous par sa ruse maléfique, ses déguisements toujours incroyablement sophistiqués, ses imitations de voix toujours parfaites. Personne ne pouvait dire quand le Voleur allait frapper. Il traversa les terres d'Agrabah, celles de Mistyland, accumulant les conquêtes, les savoirs, les objets rares. Seigneur idole des voleurs, modèle à imiter. Toujours solitaire, celui qui n'a d'autre ambition que celle de s'enrichir sur le dos des autres, le trompeur aux milles visages. Le chasseur des secrets enfouis, des cadavres dans les placards, son silence acheté avec de l'or. Pas de scrupules, pas de regrets.

Ils le regardèrent avec surprise, l'homme richement vêtu monté sur un étalon de jais. Lui sourit intérieurement, géniteurs qui ne reconnaissent pas leur engeance. Il vit à leurs visages creusés par les rides qu'ils étaient proches de la mort alors qu'il était dans la force de l'âge. Il releva la capuche qui lui cachait le visage, s'approchant avec assurance. Il les salua poliment, s'asseyant sur l'une des chaises qui l'avaient supporté pendant quelques années, le gamin qui n'était pas à sa place dans un foyer stable, lui qui avait toujours préféré l'adrénaline. « Avez vous des enfants ? » Le vieillard acquiesce, réponse déjà connue, et un rire résonne sur les murs de pierre de la vieille bâtisse. Son fils était un débauché malicieux qui s'était enfui il y a cela bien des années. Ironie du sort à celui qui pensait ne jamais revoir les deux billes azures qui l'avaient tant dévisagé, le visage à la moue mutine et à la langue insolente. Il fit lentement glisser la chemise de soie sur son épaule, dévoilant sa tâche de naissance qui ressemblait étrangement à un corbeau. Le regard du paternel s'illumina d'autant de joie que de surprise. « Comment diable ... Comment diable es-tu devenu si riche ? » Sourire amusé qui étire les lèvres du voleur. On l'avait tordu en grandissant, et personne n'avait jamais su le redresser, le faire prendre le bon chemin. C'était le roi des enfants éternels qui l'avait corrompu, et l'élève était l'égal du maître depuis bien longtemps, pour autant que leurs voix furent bien différentes. « Je suis un voleur. Si cela peut t'aider à mieux dormir la nuit, saches que je ne vole que les riches » Comme si les pauvres avaient de quoi satisfaire ses besoins. La mère arriva, pleura de joie en voyant son fils qu'elle avait déjà perdu deux fois. Il resta à leurs côtés pendant deux jours, revivant ce quotidien si insipide qu'il avait quitté déjà bien avant. Le lendemain, il remonta sur l'étalon, jetant un dernier regard à ses parents. Il avait eu un curieux besoin de retourner aux sources, d'étaler à ceux qui l'avaient pris de haut ses richesses, leur montrer que seul le mal triomphe en ce monde. « Fais attention à ne pas te faire prendre, ou tu finiras au bout d'une corde à Kingshill sur ordre du roi. » Sarcasme qui se lit sur le visage d'Azrael. « Il ne peut rien contre moi, je comptais justement lui rendre une petite visite. »


Pas qui résonnent sans gêne sur le sol lustré du château princier de Kingshill. Personne ne lui est supérieur, personne ne le verra courber l'échine. Rebelle éternellement insoumis pris pour un comte des plus respectables, il se présenta au roi. « Je viens ici, roi, me présenter en tant que Maître Voleur. Et si vous êtes aussi grand qu'on le dit, reconnaissez moi comme tel avant de tenter de mettre fin à ma vie. » Froncement de sourcil du royal homme qui reconnait celui qui se vend à prix d'or, tête mise à prix dans tous les royaumes. Le spectre qui se glisse dans les bourses des riches et qui les vide dans un soupir, l'irrespectueux fallacieux dont l'esprit est aussi acéré que ses dagues. Que veut-il de lui ? Simplement la satisfaction qu'un monarque reconnaisse ses talents, être vu par tous comme le plus grand des Voleurs. « Très bien. Je te ferais passer trois épreuves, et si tu les réussis, tu seras considéré comme le plus grand des voleurs. Tu devras voler le cheval favori de Redcastle puis, tu devras voler les draps de notre lit à ma femme et moi lorsque nous serons couchés, en retirant en même temps l'alliance de son doigt. Et pour finir, tu enlèveras un prêtre au milieu de son église » Sur une fausse révérence, Azrael sortit du palais. Il allait relever ces trois défis, et l'idée de comment était déjà en train de germer dans son esprit malin. C'était là que ses capacités serviraient sa gloire, que ses talents seraient reconnus même par les plus grands. Il les réussit toutes, les épreuves, selon différents stratagèmes ; les gardes protecteurs de l'écurie dormaient d'un pied ferme après avoir vidé le contenu de bouteille dans lesquelles le voleur avait glissé une poudre soporifique, le roi avait cru l'avoir tué alors qu'il n'avait lancé son épée que dans le cadavre du dernier pendu alors qu'il déguisait sa voix pour convaincre la reine de lui donner les draps et la bague et le curé avait cru au mensonge éhonté qu'il avait inventé. Maintenant, il était là, le fier voleur dont la réussite ne faisait plus aucun doute, face au monarque agacé par son échec. « Tu as gagné. Tu es le roi des voleurs. Quitte ce palais, et si l'on te revoit sur mes terres, tu n'auras pas la chance d'échapper une deuxième fois à la potence.» Sur ces paroles, Azrael quitta le palais, sa réputation n'était plus à faire ; désormais, sur les affiches, on verrait le nom de Roi des Voleurs qui surmonterait la somme de sa capture.

Bravo, tu as fini ta fiche dans les 24 heures impartis, tu auras donc le droit à une récompense. J'aime beaucoup ton personnage (en plus avec Jared quoi ). Un personnage bien sombre, bien complexe, et qui a beaucoup de potentiel ! Ta plume aussi est sublime, alors je te valide avec grand plaisir.

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Tu peux donc désormais te promener librement sur le forum, tel un voyageur en quête d'aventures toujours plus palpitantes les unes que les autres ! Dans un premier temps, nous te demandons d'aller recencer ton avatar, afin d'éviter tout problème de doublon ou autre ! Si tu es un personnage non poste-vacant il faudra que tu recense ton conte. Si tu as soif de RP et de nouvelles rencontres, nous te conseillons d'ouvrir ta fiche de liens, histoire de pouvoir papoter lien avec les autre membres validés du forum.. Il t'est également possible de créer ton carnet de bord, autrement dit un sujet totalement libre où tu pourras poster absolument tout ce que tu souhaites sur ton personnage (graphismes, journal intime, chronologie, etc..) si le cœur t'en dit !
Enfin, nous t'encourageons à venir flooder dans la partie faite pour (ici on aime bien les gens bavards ) et également à participer à la vie de la CB (il y aura toujours quelqu'un pour t'accueillir dignement ).