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 the value of the feelings (rosie)

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MessageSujet: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptySam 27 Juin - 15:14


The value of the feelings.


All which shines is not necessarily some gold.
Il aimait ce goût de liberté, de pouvoir sentir le vent cognait contre son visage, un visage viril, masculin, avec une barbe de quelques jours, de voyager dans des royaumes étrangers. Et surtout de ne dépendre d'aucun souverain, d'aucun royaume. Il était certain que personne ne nous dicterait comme être, comment s'habiller, avec qui même se marier tout ça pour posséder beaucoup plus de pouvoir ou même d'argent. La vie d'un paria, d'un hors là loi, avait quelques avantages que pas mal de personnes devraient envier. Lui ne regrettait absolument rien, il connaissait ce monde, comment le seigneur de Goldenbridge se moquait complétement de la pauvreté, des problèmes du peuple, ou il se préoccupait des personnes riches uniquement. Lui qui avait espérer protéger le peuple, les personnes en danger, en étant un chevalier de Goldenbridge. Il se trompait complétement. Le bel homme se trouvait comme un animal en cage, l'empêchant de s'évader, et suivre le commandement pour une mission compliquée, qui condamnera des hommes. Il repensa au moment ou il assassina d'un coup la personne qu'il aimait. La revoir tomber sur le sol, immaculée de sang, immobile comme un poids mort, étant même le responsable de son empoisonnement, ou même de sa transformation. Le noble voleur se voyait comme un monstre, une tueur de personnes. Il était en train de changer doucement, en compagnie de la jeune femme, qu'il aimait beaucoup.

Il avait comme bulletin, un magnifique collier, recouvert de symboles, et d'inscriptions. Il avait une grande valeur sentimentale, qui importait énormément à la femme. Le revendeur donnait beaucoup d'argent pour quelque chose de sentimentale, de magnifique, provenant d'une ancienne époque, et qui était en argent – ou même en or – Il comptait regagner son campement, pour leur annoncer la bonne nouvelle, qu'ils pouvaient manger pendant quelques temps, ou même se changer de vêtements. Le plaisir, le bonheur, de pouvoir de ne dépendre de personne, en pouvant gagner de l'argent, malhonnêtement, en dépouillant des personnes se moquant du peuple. Les riches le dégoutaient, ne manquant de rien, entourer d'argent, et de pouvoir,  se préoccupant que de leur personne, égoïste, avare, et égocentrique. Ils étaient aussi méprisants, dans leur comportement, leur agissement.

Daegan mit soigneusement son argent, dans son sac pour le protéger des personnes malhonnêtes. Le regard bleuté longea prudemment les chemins sinueux, dangereux, et sombre de la forêt de Sherwood. Les prix ont quelque peu augmenté, pour de nombreux voleurs, qui sont beaucoup rechercher par GoldenBrigde. Il porta une longue cape masquant son visage pour se protéger, et pour se donner un air mystérieux. La monture, son compagnon Galipsio, accompagnait en trottant doucement. Le temps était magnifique, un temps idéal pour pouvoir se baigner, plonger, ou même pique niquer en compagnie des personnes qu'on apprécie énormément. L'argent ne manquait pas pour le moment, vu le bon nombre de personnes qui arnaquaient, ou même voler pour pouvoir subvenir au besoin des compagnons. Il continua donc la marche, avant de remarquer une silhouette étrangère. Une apparence féminine, portant une tenue d'équitation, et qui ressemblait étrangement à la femme qui avait récemment dérobé le magnifique collier.

« Qu'est-ce qu'elle fou là ? » marmonna-t-il en fronçant le regard, en voyant qu'elle recherchait quelqu'un. « Elle peut attendre longtemps comme ca. » se moqua-t-il en continuant son chemin prudemment.
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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptySam 27 Juin - 17:23


The Value Of The Feelings


I Was An Angel Livin' In The Garden Of Evil.
Devait-elle prier Elesnar ? Laisser le seul souvenir de sa mère partir avec ce voleur. Elle n'avait pas pu le pourchasser avec sa longue robe qui mettait en valeurs son corps harmonieux, d'une couleur bleu, aux motifs floraux. Un tissu de soie précieux pour sa première rencontre avec son promis. Rosemay était anxieuse, paniquée et horrifiée à l'idée de se marier avec un homme qu'elle ne connaissait pas. Etait-il bon ? Cupide ? Allait-il être prévenant et doux avec elle ? Un tas de questions résonnaient dans son esprit lors de ce voyage. Allait-elle finalement tomber en amour avec son promis ou au contraire le haïr ? Rosemay haïssait de ne pas savoir quelque choses. D'être hantée par cette sensation de curiosité malsaine. En même temps,  la jeune femme ne voulait pas le rencontrer, c'était un mariage d'arrangé, elle n'allait pas mettre trop d'espoir en ce mariage, en cette union forcée, stratégique par leurs familles. Un mariage d'intérêt se terminait rarement en dénouement heureux. Non, Rosemay le savait et sa famille cherchait encore la punir d'un drame dont elle avait été innocente mais pourtant si coupable. Elle était une meurtrière, c'étaient les mots de son père, elle avait tué sa mère, la femme la plus importante de sa vie. Ses mains avaient beau être impeccables a vu d'oeil mais elle portait du sang sur elle, celui de sa mère. Celle qui l'avait porté pendant 9 mois dans son ventre, qui l'attendait avec impatience montrer le petit bout de son nez. Sa mère n'avait pas pu la prendre dans ses bras , l'admirer, la cajoler et la chérir, à cause d'elle. Sa vie avait été culpabilité, sombre et solitaire parce qu'elle le méritait. Aucune enfant n'aurait du faire cela , tuer sa propre mère pour vivre, respirer le même air.

Non, elle ne devait pas le laisser partir avec le seul souvenir de sa mère. Peut-être que celle-ci ne lui en voulait pas de ce qu'elle avait fait. Rosemay avait profiter d'un temps de pause pour partir loin de sa tante. Elle avait fait quelque pas dans la forêt et la jeune femme se sentit plus légère, elle se mit à galoper avec son fidèle destrier pour le prochain village, où elle se changea pour une tenue beaucoup plus confortable que sa robe, elle la revendit pour une tenue en cuir et tissus marrons et des bottes en cuir, qui la maintenait au chaud et à l'aise pour l'expédition, qu'elle allait faire pour retrouver ce voleur qui avait volé le collier de sa mère, la seule chose qu'on avait bien voulu lui donner d'elle. Oui, elle allait te retrouver et forcer à lui redonner son collier. Il était beau et c'était sa seule consolation. Il était la prunelle de ses yeux. Rosemay se fit un bon petit repas avant de partir pour sa recherche. Une semaine plus tard , elle eut ta trace. Elle avait rencontré des personnes merveilleuses qui l'avaient guidé vers ta tanière. Rosemay fabriquait un piège pour t'avoir dans ses filets et se cachait dans la forêt, tu la vis mais tu t'avançais de plus en plus dans son piège. Et c'est ce que tu fis en avançant vers elle. Le piège se fit et tu te retrouvas suspendu dans un filet très solide.

Rosemay fut contente d'elle, qu'elle avait pris un voleur. Elle te l'avait promis, il y a une semaine de cela. Elle t'avait retrouvé et elle voulait même fanfaronner face au succès de son plan simpliste. La belle femme sortit de sa cachette et te regardait avec un sourire. Elle était belle, ses cheveux noirs comme le plumage d'un corbeau, aux boucles soyeuses, tressés en natte à la française, mettant en valeurs son visage. Un petit regret, c'était d'être partie et laisser sa tante se débrouiller avec son fiancé inconnu. Mais le collier était plus important pour elle, c'était sa priorité. Elle s'avançait vers toi, un visage un peu renfrogné mais plutôt fière d'elle.  Rosemay se sentait plutôt avide de liberté et avoir attrapé son voleur. Elle n'était pas au courant des affaires de son père avec le peuple mais elle s’efforçait de donner toujours quelque chose aux paysans, aux gens qui avaient besoin même si ce n'était rien pour elle, insignifiant, cela semblait être précieux pour eux et les sourires qu'ils leur adressaient étaient le plus beau cadeau qu'on pouvait lui offrir.  

Rosemay t'adressait un sourire fanfaronnant, triomphant.

- Je vous avais dit que je vous retrouverais ! S'exclama-t-elle enjouée.

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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptyDim 28 Juin - 12:58


The value of the feelings.


All which shines is not necessarily some gold.
Il ne se rendait pas compte, qu'il tomba dans une trappe, des plus simplistes, comment cela pouvait-il être possible. Le voleur se mit à souffler sous agacement du comportement immature, et insouciant de la jeune femme, qui se croyait soudainement supérieur. Le summum, elle ne se rendait même pas compte du danger. Il était facile à leur temps de pouvoir capturer une jeune femme complétement puéril, qui s'amusait innocemment à emprisonner les criminels rechercher. Le temps qu'elle s'en rende compte, qu'ils demanderont une rançon pour récupérer leur enfant, pour une énorme somme d'argent, comme étant une demoiselle riche, qui ne manquait absolument de rien. Oui, certes, il ne savait aucunement ses problèmes familiaux, cependant il y avait beaucoup plus alarmants, comme la pauvreté, les personnes innocentes, qu'ils condamnèrent pour n'importe quoi. Là c'était beaucoup plus grave, et dramatique, que cela changeait même le jeune homme, en un voleur presque sans cœur, étant donner que le sien s'envola au moment ou il avait assassiné la personne qu'il chérissait énormément. Comment pouvait-il changer quand on empoissonnait la femme qu'il aimait, tout ça pour se venger. Le cœur était emmuré dans du béton, pour se forger un caractère repoussant, imposant, qui permettrait d'éloigner quiconque, de essayer de le corrompre. Les gens qui s'attachaient beaucoup à Daegan, étaient comme condamné à la mort.

Il soupira, en roulant des yeux quand la jeune femme affirma, qu'elle le retrouverait coute que coute, tout ça pour une babiole, peut-être sentimentale, mais qu'il avait quand même revendu. Et qu'elle ne comptait pas qu'il lui donne un coup de mains pour le retrouver. Daegan ne bougerait pas son cul pour aider quelqu'un de riche, qu'il méprisait, et qui le rendait vraiment mal, au point de vouloir même le dépouiller de leur argent. La posture dans laquelle il était, lui donnait quelques douleurs musculaires, néanmoins il ne se plaignait même pas, quand on était un voleur, on s'adaptait à n'importe quelle situation, même aussi grotesque qu'un simple piège d'une jeune femme. Le blond ne put répondre à ce qu'elle balançait comme cri de victoire, par beaucoup d'ironie, en relançant le fameux sujet avec honnêteté, qui servait comme provocation :

« Ah ah ! Je suis mort de peur ! » ironiqua-t-il en soupirant d'ennui, face à son comportement immature. « Tout ça pour un stupide objet, c'est pathétique ! » dit-il en regardant la jeune femme, qui semblait vraiment tenir à ce bijou.

Il commença à débattre sur le sujet, avant de rajouter davantage d'information, pour tout compliquer. Le jeune homme ne comprenait pas, comment pouvait-elle vouloir se mettre en danger pour un collier. Il suffisait simplement qu'elle demande à son cher père de pouvoir lui en acheter un second, exactement pareil que celui qui avait vendu récemment. En voilà bien une enfant capricieuse, qui pour un bijou, pourrait condamner son entourage à payer une énorme rançon pour la récupérer. Oui, bon, il se moquait bien de récupérer l'argent comme ça, ce n'était pas vraiment son genre, et cela permettrait en même temps à Goldenbrigde de le retrouver. Elle ne comprenait pas que cela permettait à des personnes démunies de s’octroyer un peu de bonheur, de quoi manger, de quoi boire, et s'habiller comme n'importe qui. Bien sûr que non, elle devait impérativement le récupérer pour emmerder le monde. Le tout pour montrer qu'elle était contente de posséder son collier, et de retourner dans son monde comme si rien ne s'était dérouler récemment. Se moquant des personnes en dangers, démunies, retournant dans son monde rempli d'argent, et de pouvoir.
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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptyJeu 2 Juil - 12:42


The Value Of The Feelings


I Was An Angel Livin' In The Garden Of Evil.
Rosemay était une personne douce, tendre, bien éduquée. Elle parlait d'un langage soutenu, très soigné. Tout était calculé chez elle, préméditée. Il n'y avait aucune place à l'improvisation. Rosemay ne s'était jamais levée le matin et se surprendre à n'avoir rien à faire. Non, Rosemay n'avait jamais eu une journée libre, où elle n'avait pas de cours de bienséances, d'étiquettes , ni de rendez-vous, ou de goûter avec sa tante. La jeune femme haïssait le thé en plus de cela. Elle préférait de loin, l'eau tout court. En soit, elle n'était pas prévisible dans ses goûts mais elle aurait aimer avoir le choix dans ses journées, de son emploi du temps. Tout avait été dicté depuis sa naissance à cause du protocole, qu'elle devait respecter aux pieds à la lettre. Sa fuite était la seule chose qu'elle avait fait de vraiment imprévisible. C'était revigorant de faire cela, Rosemay avait ressenti beaucoup d'émotion en faisant cet acte bref et intense. De la liberté, de la nervosité, de la peur et de la curiosité. Partir à l'aventure n'était pas son fort, c'était la première fois, qu'elle pouvait explorer le vaste monde. Elle n'était plus un enfant, mais Rosemay s'émerveillait face à la beauté du monde, de ce monde qui lui était encore inconnu. Un monde que sa mère avait sans doute connu, qu'elle avait eu ce regard face à tant de beautés. Tant de belles choses.Sa mère avait peut-être eu cette belle envie de partir loin de là, de sentir la liberté faire battre son coeur frénétiquement. Est-ce qu'elle ressemblait à sa mère, avait-elle les mêmes traits, le même caractère ? Est-ce que sa mère l'aurait aimé , l'avait aimé ? Rosemay savait seulement ce que son père avait bien voulu dire sur elle, le peu qu'elle savait, était que Rosemay l'avait tué.

Peut-être que sa mère était comme elle, une femme curieuse, enjouée, aimant la liberté. S'émerveillant  devant la beauté du monde. Rosemay avait découvert les marchés, les gens chaleureux, des amis, des codes moraux qu'il fallait respecter. Un peuple. En une semaine, elle avait vu tant de belles choses, tant d'humanité, que cela l'avait touché au plus profond dans son coeur. Des merveilleux souvenirs guidés par la liberté et cette quête. Une quête qui a tout changé chez elle. Son père avait tort sur les villageois, ses opinions étaient injustifiés. Les gens étaient bons, ils avaient une histoire. Rosemay avait fini par comprendre que derrière chaque visages, se cachaient une histoire. Même derrière le tiens. Tu avais beau à te cacher derrière ce masque. Elle savait que tu avais une histoire intéressante. Les gens avaient des valeurs, de la beauté, même de la noblesse dans leurs actes. Ils étaient généreux, doux et prévenants, pour certains. Ils avaient leurs rêves, leurs ambitions, leurs opinions. Finalement, Rosemay avait trouvé que ces personnes étaient la bonté incarnée, ils méritaient d'être honorés, d'avoir une belle vie. Elle espérait le meilleur pour eux. Le monde n'était pas mauvais et cupide, comme son père le prétendait. Rosemay en était sûre de cela.

Un stupide objet ? Rosemay fut vexée que ce voleur vole cet objet, dénigre le seul souvenir qu'elle ait obtenu de sa mère, ce collier qui lui donne de l'espoir et le courage de continuer à vivre. Ce bijoux avait été le seul soutien qu'elle ait pu avoir dans sa vie. Le perdre, cela serait de perdre l'espoir d'avoir une rédemption un jour. Lorsque Rosemay portait ce collier autour de son cou, elle imaginait que sa mère était à ses côtés, qu'elle la guidait , qu'elle lui avait pardonné ce qu'elle avait fait. Ses mains gantés de cuir avaient du sang qui ne se voyait pas à vu d'oeil. Ce sang qui la hantait jour et nuit. Ce sang qui la rendait folle. Celui de sa mère. Non, Rosemay ne connaissait pas sa mère et en avait toujours souffert de cela mais ce collier était la représentation de celle-ci. Non, il ne fallait pas qu'elle la perde une seconde fois.

Rosemay affichait un sourire presque arrogant mais elle était plutôt fière que son piège avait marché. Elle prit le petit poignard qu'elle avait et le pointa avec hésitation vers toi.

-Je vois que vous vous souvenez de moi, vous savez donc que je veux récupérer mon bien. Sinon..., Commença-t-elle comme pour laisser place au suspens.

Tu pouvais croire qu'elle faisait exprès mais elle cherchait une excuse pour te faire peur, un chantage comme on lui avait appris. Un éclair d'illumination vint se faire dans son esprit et elle sourit.

-Sinon, je vais vous livrer à quelqu'un qui se ferait une joie de vous exécuter. Je perds ce collier, vous perdrez la vie. Redonnez-le moi , je ne veux que mon collier, Déclara-t-elle doucement mais avec un sourire fière .

Rosemay te regardait, elle savait que tu allais accepter. Elle était peut-être une fille de la noblesse mais elle avait quelques ressources bien à elle.




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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptyDim 5 Juil - 22:04


The value of the feelings.


All which shines is not necessarily some gold.
La petite comptait vraiment effrayer ? Oui, peut-être qu'elle possédait un poignard, cependant était-elle vraiment capable de pouvoir poignarder quelqu'un uniquement pour un quelconque objet ? Cela étonnerait beaucoup, son regard rempli d'innocence, d'ignorance, comme beaucoup de naïveté. Car il ne comptait pas rendre son objet. Elle croyait pourtant qu'il lui remettrait son magnifique collier comme ça. La demoiselle croyait beaucoup trop au père noël pour croire que le monde était comme ça. Il n'eut aucune peur devant son poignard, principalement, car elle avait besoin de lui pour retrouver son objet. Parce qu'il avait déjà vendu en échange d'argent. Lui se moquait bien de pouvoir le retrouver, comme s'il voulait vraiment aider une bourge. Il en était hors de question, ces personnes il les méprisait beaucoup trop. Le bandit afficha un sourire moqueur, sachant qu'il ne le possédait même plus. Les insultes fusaient dans son esprit, comme une menace qui exploserait. Oui, c'était digne des bourges de se préoccupaient uniquement de leur personne. Qu'à leur précieux objets, se moquant que des personnes souffraient beaucoup. Il ne savait même pas comment réagir autrement que par les provocations. Le regard beaucoup plus sombre, plus mauvais, en apprenant qu'elle comptait le dénoncer. La condamnation, la mort, comme le nouveau seigneur souhaitait. Les visions de son ex-femme, son ex-petite amie le replongea dans le bonheur temporaire, quand elle le changea en un homme heureux, protecteur, aimant.

Le dernier souvenir quand elle lui remit un animal en danger, qu'elle voulait impérativement soigner. Un immense sourire au bord du visage, lui suppliant de lui donner un coup de main. Le regard pétillant, aimant, bienveillant de sa compagne, destinait uniquement pour lui. Le bonheur était seulement éphémère, temporaire, mais il en avait malheureusement pas le droit. Comment pouvait-elle une minute, lui demander de le condamner comme, on avait empoisonné son ancienne femme pour se venger. Oui, il devait trouver une sorcière pour pouvoir l'aider de se venger de cet espion, ou même du fils de l'ancien seigneur de Goldenbridge. Il revint à lui-même en crachant :

« Vous pensez qu'à vous, sales bourges ! » balançait-il d'un ton haineux, et méprisant.

Le seigneur de Goldenbrigde se moquait de la pauvreté, condamnait n'importe quel homme, uniquement pour son bon plaisir. Comment pouvait-il apprécier la royauté, qui ne bougeait pas devant ce cauchemar, ce spectacle épouvantable, que montrait le seigneur. Lui ça le révoltait, l'énervait, le mettait dans une colère incontrôlable, et impénétrable. Qu'elle le replongeait, en lui rappelant qu'on le menaçait exactement pareil. Se rendre ou une simple potion, pour sauver et pouvoir protéger la personne qu'il aimait. Ce n'était qu'un mensonge pour qu'il se rende tout bonnement, il avait balancé la potion pour montrer que le mal, quand on le devenait, on ne pouvait changer. Ils avaient peut-être raison, si on ne changeait pas, on ne pouvait pas reposséder le bonheur, tout comme retrouver quelqu'un qu'on éprouvait des sentiments. Le monde était comme ça, mauvais, ou bon, simplement fallait-il bien tomber. Et vu qu'elle semblait vouloir jouer à la personne serviable, qui attrapait les méchants. Ou bien les personnes bonnes, mais au mauvais fond pour pouvoir ne pas retomber aux mêmes pièges. Elle pouvait le dénoncer mais elle reverra jamais son collier, et même il s'en foutait complétement, c'était son problème, et non le sien maintenant :

« Qu'est-ce que tu attends ? Livre moi ! Mais tu ne reverras plus jamais ton précieux collier ! » annonçait-il clairement, pour lui démontrer ce qu'il en était si vraiment elle tenait à son collier.

Il réfléchit un moment, comme pour réfléchir, mais c'était qu'un mensonge, du mito pour se moquer davantage. Le voleur était charitable uniquement pour les personnes qui le méritaient. Ce n'était qu'une bourge, elle en avait aucunement besoin, elle allait qu'à pleurer auprès de son entourage. Ils lui achèteront le même présent que le précédent. Et si elle le dénonçait, comment comptait-elle retrouver son objet, même si répondait aucunement. Il était la seule personne à savoir à qui avait vendu le collier.

« Ca serait tellement dommage ! Quoique.. Non en faite ! Je m'en moque complétement ! Pourquoi me soucierais-je d'une bourge égoïste et insouciante ? »  demandait-il sans attendre une quelconque réponse.  
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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptyMer 8 Juil - 17:20


The Value Of The Feelings


I Was An Angel Livin' In The Garden Of Evil.
Egoïste ? Non, Rosemay ne l'était pas vraiment, elle a toujours pensé les autres avant elle à cause de sa culpabilité. Oui, son père lui a donné le pire des fardeaux, c'était de faire face à sois-même et de trouver une occupation sans amener plus de culpabilité. Elle avait pensé à s'occuper de ses domestiques, à être bonne et respectueux envers elles. Sa seule source de compagnie. Son père n'étant jamais là pour s'occuper d'elle, d'ailleurs, il ne voulait pas le faire. Il ne voulait pas avoir la culpabilité de s'occuper de la meurtrière de sa femme bien-aimée. Pourquoi le voudrait-il ? Il ne voulait pas la voir, vouloir l'aimer comme elle aurait  aimer l'être. Elle aurait aimé avoir sa mère à ses côtés, savoir ce que cela faisait d'avoir une mère qui l'aimait, qui la consolait et qui la serrait dans ses bras. Rosemay aurait aimé voir le visage de celle-ci, voir son sourire que quelqu'un lui dise qu'elle lui ressemblait. Ce n'était pas tant le fait que tu lui avais volé qui la gênait. Elle se fichait bien des bijoux, elle pouvait même t'en donner mais c'était ce collier, le préféré de sa mère selon les dires de sa tante. Le seule, qu'elle avait réussi à voler à son père. Il était simple et élégant et de plus, t'en tirerait beaucoup plus avec les autres. C'était ce collier, qu'elle ne voulait pas qu'on vole, t'aurais pu lui voler 36  autres colliers, ne lui laissant que celui-ci, elle ne l'aurait pas poursuivi mais en même temps, elle n'aurait pas changé de perspectives. Grâce à cette quête, Rosemay avait eu une amie en quelque sortes.

Grâce à Talya , elle avait découvert un autre monde qui n'était pas fait de bijoux fantaisie, de diamants, d'or et de robes majestueuses, et même de protocoles . Elle avait vu un monde simple, honnête avec elle. Les corsets qui lui enserraient la poitrine, s'était fait remplacer par une tenue plus fluide. Non, elle n'avait plus sa belle robe blanche faite de soie mais une tenue en cuir plus fluide, plus masculine. Malgré sa petite formation rapide,  Rosemay avait découvert des femmes qui avaient quelque chose en plus que les hommes. Le courage. Elles avaient le courage de s'imposer, de se battre pour ses valeurs sans jamais s'arrêter. Elles avaient tout, la liberté, la force, le courage et même des valeurs. Rosemay aurait aimé être comme elles et non comme sa tante au final. Elle aurait aimé se battre, avoir des valeurs et ce courage. Avoir cette poigne ! Mais elle était une bourge, une fille de noble, elle n'était en rien comme son amie Talya. Elle n'avait pas l'habitude de marchander ou même de se battre, elle serait incapable de te tuer ou te dénoncer pour te faire exécuter. Malgré son changement vestimentaire , et quelque peu de caractères, ses origines se voyaient encore , elles étaient encore bien présentes. Tu voyais cela et t'en jouai beaucoup dessus quitte à l'insulter.

Rosemay ne se considérait pas comme une sale bourge. Elle baissa la tête un peu vexée par ses propos. Mais Rosemay devait se reprendre, elle avait la main prise sur toi, elle pouvait te laisser crever de faim mais elle ne voulait pas tuer quelqu'un d'autre. Elle ne voulait pas être une fois de plus une meurtrière. Non, elle voulait seulement récupérer son collier et rentrer chez papa & maman. La belle jeune femme te regardait , remettant en arrière sa tresse noire. Même si elle eut un moment de faiblesse, sa détermination était telle, que tu n'arriveras pas à lui faire baisser sa garde, c'était sûre.

Elle prit un pas en arrière en le regardant, remettant son dos bien droit, signe d'une éducation stricte et sévère avant de sourire.

-Écoutez moi bien, je ne sais pas ce qu'on vous a fait mais je ne mérite pas une insulte pareille ! je veux simplement retrouver ce collier, je ferais n'importe quoi pour le retrouver. Ce collier est important et n'a pas beaucoup de valeurs mais j'en ai d'autres, qui en ont ! Je veux simplement ce collier qu'importe ce qu'il m'en coute ! Déclara-t-elle d'une voix rauque et déterminée.

Rosemay le regardait en soupirant doucement de ce que tu étais en train dire.

-Bien je vous aiderais en vous donnant d'autres bijoux plus précieux et coûteux, en échange de ce collier, du donnant-donnant non ? Demanda-t-elle.

Elle espérait que cette solution marchera avec toi, sinon, elle est perdue et condamnée à perdre encore une fois sa mère.




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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptyJeu 16 Juil - 23:29


The value of the feelings.


All which shines is not necessarily some gold.
Ils avaient assassiné des innocents, des personnes qu'on condamnait uniquement pour trouver un responsable, pour torturer mentalement ou physiquement pour une réponse. Dae les observa depuis longtemps, commettre leurs méfaits sans aucun scrupule, entendant des personnes hurlaient à plein poumon, des enfants pleuraient les larmes de leurs corps. Le cauchemar d'un homme, un homme dévoué à son royaume, en apprenant que c'était qu'un mensonge, qu'un énorme coup monté pour donner une bonne image au seigneur de Goldenbrigde. Le seigneur se moquait de la pauvreté, de la misère de son peuple, de condamner des innocents, ou même d'entendre des personnes supplier. Le voleur méprisait cet homme au pouvoir, et décida de reprendre ce qui revient au peuple. L'argent. Oui, cela lui valut de nombreuses pourchasses, sa tête à mise à prix pour une maudite somme d'argent, étant donner que lui-même était incapable de le capturer, de le stopper dans ses nombreuses affaires. Il engagea même quelqu'un pour s'en occuper, cependant au lieu de marcher, tout a capoter au moment de lui remettre le remède qui était censé sauver son ancienne femme. Le seigneur avait quoi s'enrager en apprenant aucun plan machiavélique ne fonctionnait. Et qu'il en jouait beaucoup de la situation, étant donner que peu de personnes réussirent à échapper aux moins du seigneur de Goldenbrigde.

Pas beaucoup ? Elle semble pourtant se tromper pour le prix de cet objet qu'elle comptait absolument récupérer. Le vendeur lui remit quand même une pochette rempli d'argent. Un moyen comme un autre, de pouvoir obtenir l'objet en démontrant sa valeur, une technique sûrement efficace en temps normal, cependant qui ne fonctionnait pas sur Daegan. Et toc, dommage ! Rosemaye sous-entendait qu'elle possédait beaucoup d'objets, d'une valeur sous-estimable, qu'elle pourrait lui remettre uniquement pour ce « bijou ». Le cœur était comme partagé en deux, d'un côté cela permettra a son peuple de pouvoir avoir de quoi se nourrir, ou même de simples vêtements, chauds, confortables, pendant les temps hostiles de Goldenbrigde. Les enfants survivraient, sans tomber dans de graves maladies, les condamnant, pourraient manger à leur faim, en s'épanouissant dans leur maisonnette. De l'autre côté, ils méprisaient énormément les bourges, des menteurs, égoïstes, ne pensant uniquement qu'à leur propre personne, se moquant des personnes qui les entourent. Cela pouvait être également un coup monté, elle obtiendrait son bijou, en ne tenant pas parole comme beaucoup de son espèce, et préserver ses objets d'une grande valeur.

Le jeune homme plongea son regard sombre, fermé, et méfiant dans le regard chocolat de Rosemay. Il espérait trouver une réponse, une révélation dans son regard. Le problème c'était que dans un piège grotesque, il avait beaucoup de courbatures. Le bandit la sentait incapable de commettre une meurtre, ou même de dénoncer quelqu'un. Lui ne courrait aucun danger, seulement il devait entendre les chuchotements d'une gamine, insouciante, et menteuse, pendant le temps de sa libération.

« Qu'est-ce que tu peux être sotte ! » répondit-il quand elle rappliqua pour insulte. « Retourne donc dans les jupons de ta mère ! » soufflait-il lasser de son comportement. « N'importe quoi ? » dit-il en changeant le ton de sa voix, les yeux brillant d'une étincelle, comme quand on parlait d'argent.

Elle semblait vraiment tenir parole, en s'engageant de remettre d'autres objets beaucoup plus précieux. La méfiance de l'homme était quand même aux aguets, en sentant le canular, tout ça uniquement pour récupérer un collier d'une valeur sentimentale. Les femmes tenaient beaucoup trop aux biens matériels, surtout les bourges. Et il se fichait complétement de savoir pourquoi cet objet comptait énormément pour Rosemay. Le voleur exerçait son métier, seulement avec un donnant, c'est comme ça qu'on fonctionnait dans la forêt de Sherwood. Cela n'était pas prêt de changer. Il aurait plus eu aisance à croire à la jeune femme, si elle n'était pas une femme de grande « noblesse ».

« Pourquoi te ferais-je confiance ? » demandait-il avec beaucoup de méfiance vis à vis de Rosemay.
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MessageSujet: Re: the value of the feelings (rosie)   the value of the feelings (rosie) EmptyVen 17 Juil - 0:46


The Value Of The Feelings


I Was An Angel Livin' In The Garden Of Evil.
Rosemay ne savait pas ce qui t'était arrivé, elle n'avait pas ta vie. Elle avait eu celle d'une enfant rejetée par son père, isolée dans un domaine, privée de sa liberté, de ses choix. Elle avait beau être une noble, Rosemay était une des premières à dénoncer leur cruauté et leur froideur. Elle n'avait jamais vu son père lui offrir un sourire, être présent pour elle. Il ne voulait pas d'elle. Elle était son fardeau, son Judah, la cause de tout son malheur. La petite fille qu'elle avait été, jalousait les enfants de domestiques, ils avaient leurs pères, leurs mères pour eux, pour les aider, les aider à prendre un choix, les aimer. Rosemay ne savait pas ce qu'était l'amour. Elle n'avait jamais goûté à cela, ni à la chaleur d'un câlin réconfortant. Elle avait été mal-aimée, pour ne pas dire pas aimée du tout. Sa cicatrice en était la preuve, elle lui barrait sa belle lèvre, son père l'avait giflé lorsqu'elle lui avait voulu demander à quelque chose. Elle lui avait volé sa femme, il lui volait sa liberté, sa joie, son bonheur et ses choix. Au final, elle était plus une prisonnière qu'autre chose, comme un animal en cage. Rosemay voulait avoir sa liberté, une vie. Une vie que son père lui avait volé comme elle avait volé celle de sa mère. Elle aurait aimé savoir ce qu'était d'avoir une mère, quelqu'un qui l'aime et qui lui montre l'exemple de la gentillesse dans son enfance. Mais elle n'avait eu personne pour lui montrer le chemin de l'amour.

Ce sentiment la hantait, la tourmentait. Elle était quelque peu plus jeune que toi, plus vieille que Talya mais pourtant, elle n'avait rien eu. Rosemay n'avait pas eu de vie. Sa rencontre avec cette femme l'avait comme réveillé d'un profond sommeil. Comme si elle n'avait jamais vécu. Comme si elle était en prison. Elle n'avait pas vu du pays. La seule chose qu'elle avait vu avant de sortir pour rejoindre son promis, c'était la tombe de sa mère. Rosemay s'était toujours demandée comment celle-ci avait pu être avant de mourir ? Comment était-elle physiquement et mentalement ? Ce qu'elle avait ressenti en l'attendant ? L'avait-elle vu comme un fardeau ou comme un cadeau du ciel? Ressemblait-elle à sa mère ? C'était ce qu'elle aurait aimé savoir ? Elle aurait aimé que sa famille lui parle d'elle, lui raconte des souvenirs, un compliment sur sa ressemblance avec celle-ci, enfin si il y en avait une. Elle aurait aimé savoir ce que sa mère avait pu être avec elle , qu'elle ne se sente pas comme une étrangère qui l'avait tué de sang froid. Son père l'avait détruit en la méprisant, l'ignorant, la rejetant comme un sale chacal de malheur, lui faisant porter cet horrible fardeau qu'était la mort de sa mère.

Rosemay savait qu'il cherchait à se ressaisir, à revivre sans cette magnifique femme qu'il avait aimé et accuser quelqu'un d'innocent, la forçant à croire que c'était de sa faute. Rosemay vivait avec cette culpabilité, ses doutes et ses incertitudes qui s'envolaient lorsqu'elle avait ce collier autour du cou. C'était comme si il représentait la présence de sa mère, c'était comme si elle était là avec elle. Sans ce collier, elle était perdue. Elle fut vexée que tu ne la prennes pas au sérieux et que tu lui dis de retourner dans les jupons de sa mère. Si seulement elle aurait pu le faire au moins une fois ! Elle retenait les larmes de couler et avalait difficilement la boule qui s'était formée dans sa gorge.

-Je suis peut-être sotte mais cette sotte vous a piéger et elle peut vous laisser mourir de faim alors oui je peux vous donner n'importe quoi de plus, je vais être forcée à me marier, vous aurez tout ce que vous souhaitez, s'enquit -elle plus que confiante, toute trace de tristesse qui était parti.

Rosemay le regardait et levait les yeux au ciel face à ta question stupide et irréfléchie. Tu n'étais pas vraiment un savant à ce qu'elle voyait. Pourtant cela semblait être une évidence mais il semblait vouloir traîner cela en longueur alors que tout aurait été plus rapide sans cette nonchalance de ta part. Elle jouait avec le couteau avec aisance comme si cela était innée chez elle. En même temps, cela l'était presque. Pourquoi ? Il se fichait vraiment d'elle.

-Cessez de vous moquer ainsi des personnes ! Je suis partie, j'ai fugué, je me suis aventurée là où je n'aurais jamais osé aller. Ce collier est la prunelle de mes yeux, c'est la seule chose auquel j'apporte de l'importance ! Je suis à votre recherche depuis une semaine et je suis déterminée pour ce collier même si ce que vous faîtes est une cause noble ou non. Je serais prête à tout ! Voilà pourquoi, vous devez avoir confiance en moi, surtout que je ne vous veux aucun mal seulement mon collier ! S'enquit Rosemay en omettant de dire que c'était plus à elle de poser cette question plutôt que toi.

Rosemay le toisait, elle était sincère, véritablement sincère, et le regardait vraiment, il était plutôt bel homme.

-Et vous, pourrais-je avoir confiance en vous ? Demanda-t-elle plus doucement.

Elle devait être sûre avant de le libérer, elle espérait qu'elle l'aurait convaincue au moins cette fois.




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