NOM & APPELLATION ◈ les rivières découlent de ses doux murmures tandis que s'étant, à travers le rivage, son infâme fourrure. D'Ondska, on ne retient que le triste visage désabusé d'une femme oubliée. À sa fureur d'antan et à son parfum de désespoir, il n'y a que sa couleur écarlate qui rugit de son teint pâle. Fur, folle amoureuse de la noirceur qui s'étire dans ses veines, qui se meurt dans son cœur et se greffe en son esprit éphémère. AGE ET DATE DE NAISSANCE ◈ c'était à travers la cime des arbres, cinquante-deux années auparavant, que son hurlement perça le silence. C'était sous un vent glacial, une brise meurtrie par la douleur d'antan, le visage perdu de la mère de l'enfant né en l'an 1019. Agonisante, implorant que l'on vienne sauver celle qui était sienne. Et à travers le rideau blanc de la neige, le cœur battant du père, au regard rivé vers la meurtrière. LIEU DE NAISSANCE ◈ c'était cette terre vaine qui accueillit son corps d'enfant maudit. C'était ce même parfum d'horreur et de déplaisir qui agitait son cœur de poussière. Mistyland, à une autre époque. Avec son immense forêt et sa bête malfaisante. RACE ◈ Au soleil rugissant, elle est la sorcière de ses souvenirs, la créature jadis bête sauvage de la nuit. Incarnant l'ours banc aux griffes assassins et l'enfant pâle au regard lointain. ROYAUME ◈ les paysages défilent devant son regard malade tandis que Mistyland s'ouvre à son corps d'or. Jamais elle ne quittera sa terre d'éclats blanc et de rires saignants, comme unique refuge pour la femme oubliée. ALLÉGEANCE ◈ son cœur ne bat que pour son esprit malsain. Elle ne supporte que sa propre aura et n'entend que sa douce voix (sovereign flame). PROFESSION ◈ Son infâme cri transperce les ténèbres lorsque s'achève sa quête de sang et de diamant. L'horrible sorcière, assoiffée de chair et de richesse. La bête reclus, affamée de cadavre et de misère. STATUT SOCIAL ◈ Comme éternelle solitaire à travers la lisière des arbres, comme nouvelle âme dans ce monde de noirceur, son cœur est destiné à ne battre que pour sa propre personne. Comme dénué de tout amour, de toute lumière et de toute passion. Comme vidé d'elle et empli d'haine. CONTE ◈ la bête blanche, conte inventé. FAMILLE ◈ Jadis, il y avait la douce voix maternelle qui résonnait à travers la maison de bois. Avec ses éclats de cristal et son regard aux mille lueurs. Il y avait l'hurlement du père qui jacassait dans le royal silence de la bâtisse. Avec son regard noir et ses mains du désespoir. Et est apparu l'enfant, broyant la calme tempête à chacun de ses pas. Avec ses mains déchues et son visage perdu. Avec le corps de la femme enfui dans ce monde de glace et le cœur du père, comme mort assassiné par le rire enfantin. Par la présence de cette fille qu'il rejeta, jour après jour et nuit après nuit. Et par la présence de cette vieillard de femme, cette infâme créature des ténèbres, sorcière qu'il haïssait, méprisait et crachait la fureur de ses entrailles. Cette vieillard de femme qui apprit, en la vie, la mort à cette enfant solitaire. Et cet enfant qui traversa les âges et les paysages, sans jamais quitter de trop loin sa terre natale. Sans jamais quitter son village d'antan. Pour ne pas oublier ceux qui l'avaient crée et qu'elle détestait ardemment. À sa famille perdue dans les méandres des ténèbres, là où son cœur gît dans l'obscurité, il ne reste que des souvenirs. Les souvenirs de son sang, ceux qui avaient orné ses jours de tristes remords. Ceux  dont elle ne veut plus entendre l'existence aujourd'hui, à préférer enfuir et enterrer le passé dans son esprit meurtri.

◈ Que pensez-vous du conflit entre le roi Charming et l'empereur Phillip ? Il y a des rumeurs, des mots et des histoires dont elle n'en a pas la passion. Dont elle n'en voit pas l'intérêt. Dont elle ne peut en frôler la question. À force de ruer son esprit de coups et de blessures, de l'assassiner par sa folie et sa noirceur. Comme bourreau de ses propres pensées. Ensevelie par la terreur des autres, des voyageurs, des villageois, des splendeurs du pays ; elle ne pourrait se consacrer à l'avenir de ces terres. Elle, la solitaire, presque exilée de sa contrée natale. Presque perdue dans les profondeurs de Mistyland. À l'esprit trop occupé vers sa sorcellerie et ses merveilles pour en dénier détourner le regard. Pour ne consacrer que quelques instants, de son infâme existence, au futur du royaume. Elle devrait en défendre les droits, en défendre le pouvoir et la vitalité, mais elle se veut accrochée à son bonheur personnel. Comme désintéressée des soucis d'autrui. Comme trop égoïste et narcissique pour voir le monde se déchirer autour d'elle, mais trop bien loin pour qu'elle en trouve remède.

◈ Qu'est-ce que représente pour vous la magie ? En avez-vous peur ? L'utilisez-vous ? Il y avait un temps où la peur s'ancrait en son sein et calcinait son corps d'enfant. Il y avait la terreur, le mal-être et la crainte d'user de ses mains et de sa voix pour faire naître la magie qui coulait dans ses veines. Il y avait, fût un temps, une enfant perdue dont l'esprit ne cessait de vagabonder d'un endroit à l'autre, d'une personne à une autre. Entre le père meurtri, sauvage, sanguinaire, comme déjà assassiné par la perte de son épouse, et la grand-mère maternelle dont la menace et la terreur faisait rugir son cœur de petite fille. Et lorsque ses pensées s'agitèrent en son sein, les pas de l'enfant se firent plus lourds. Plus ardents. Plus menaçants. C'était sa voix stridente qui résonnait à travers les pièces sombres de la maison, à susurrer aux ténèbres des paroles d'envoutements, de sorcellerie et de magie. À faire danser la poussière au coin du feu jusqu'à maîtriser de tout son être ce dont elle était capable. À pratiquer la magie, jusqu'à en perdre l'envie, jusqu'à en perdre la raison. À se laisser envahir par la folie et la noirceur de ce monde, à mourir au coin de cette lueur écarlate, de ce territoire infâme. À se laisser crever sous la maison de bois, couverte de neige et de cendres. À repousser les voyageurs et terroriser les rôdeurs par les maux. Comme l'éternelle sorcière solitaire, maîtresse de ses jours par delà la magie.

PSEUDO & PRENOM ◈ vanessa, aussi connue sous le pseudo de the road. AGE & RÉGION ◈ dix-neuf ans bientôt, lorraine. FRÉQUENCE DE CONNEXION ◈ sept/sept, hormis quelques semaines où je serai absente deux-trois jours de suite. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU SUR LE FORUM ◈ via bazzart, je suivais le projet. VOTRE AVIS ◈ je ne suis pas déçue, loin de là. très joli forum, tant par le design que par le contexte et tout ce travail fourni, bravo. AVATAR ◈ tilda swinton. CREDITS ◈ tumblr. UN DERNIER MOT ◈   .

C'était un parfum étrange qui régnait au travers de la pièce, comme un arôme trop amer, comme une odeur trop meurtrière. Il y avait une faible brise qui entrait par la fenêtre et apportait avec elle les nuances des jolis bois. Au-delà du carré de lumière, il y avait l'immense forêt et ses immondes dangers. De temps à autre, il y avait cet infâme hurlement qui venait briser le silence et qui transperçait l'âme du père. Avec son regard glacial et son visage teinté de terreur, il laissait s'évader son espoir de renouveau. Avec les cris de sa femme et les murmures suintant la crasse de la plus âgée des dames, il tremblait. Et cette vieille créature du mal qui ne cessait de répéter mille mots pour soigner les blessures de celle qui était sienne. Et son regard, son sinistre regard teinté de peur et de terreur. Elle était agonisante tandis que s'échappait d'elle la vie d'une énième créature. Une enfant du mal qui, plus tard, régnerait comme bête, comme monstre et comme synonyme de malfaisance sur cette maison de bois. Cette maison, perdue au milieu de la forêt et comme suspendue dans le temps. Comme coupée de ce monde de neige et de lueurs blanches, où l'homme côtoyait la magie d'une femme. Celle pour qui son cœur cognait dans son torse d'époux. Triste regret peint sur le visage, comme un vent amer traversant le paysage, les cris cessèrent brusquement. C'était un pleur, un râle presque, qui s'échappait des bras de la grand-mère. « Là voilà. » dit-elle, lentement. Son vieux pas lourd traînait sur le sol de bois tandis qu'elle s'approchait de l'immense carrure paternelle. Et lui, le regard sombre et vidé de tout amour, comme accroché sur la carcasse de la mère. Immobile. Impuissante. Morte. Assassinée. Il restait de marbre, avec son visage de colère et de fureur. Et elle, l'enfant nouveau qui ne cessait de pleurer, encore et toujours. Comme déjà consciente du rejet du père, de la colère de l'époux qu'il était. Comme déjà consciente de la perte de la mère, de l'assassinat de la femme qu'elle représentait aux yeux du mari. « Prenez-la dans vos bras. » La vieille dame insistait, la vieille dame implorait de se débarrasser du fardeau que représentait déjà l'enfant. La vielle dame, elle aussi, rugissait de colère. « Non, je ne veux pas. » Sa voix avait perçait les pleurs de l'enfant et avait résonner à travers l'immense forêt de neige. Elle avait comme exécuté les derniers espoirs qui avaient persisté en la vielle femme. Elle avait comme achevé tout avenir pour ces deux causes, ces deux êtres reliés par le même amour ; celui de la femme qui n'était plus que cadavre. « Non, je ne veux pas. » répéta-t-il une seconde fois, tandis que son regard ne quittait plus le corps dénudé de sa femme. « Je voulais que vous la sauviez elle, pas cette immonde créature. » Il crachait sa haine et sa colère en ce monde d'injustice, en rejetait la faute sur l'enfant tout juste née. Il crachait son mépris et sa terreur à travers l'image d'un époux dévasté et d'un père fraichement nouveau. « C'est ainsi. » murmura la vieille dame, tandis que son pas s'approchait toujours de l'homme. Avec son torse gonflé, ses mains tremblantes et son regard vidé, il rejetait toute forme de sympathie. Il y avait presque de la fureur qui se dégageait de ses yeux morts, mais c'était le rejet de l'autre qui se lisait le plus. « Donnez-la moi. » Enfin, il délaissa la carcasse de sa femme pour le corps frêle de la gamine.
Elle était belle. Elle était belle, c'était certain. Il n'y en avait aucun doute. Avec ses yeux d'un bleu couleur neige et son regard aux nuances argentées, elle l'inspirait. Elle lui donnait envie de découvrir la douceur de sa peau, de rire aux mille éclats tandis que, plus loin, suintait encore le corps brûlant de sa femme. « Tu ressembles à ma femme. » lui dit-il, tandis qu'il la prenait dans ses bras. Là, il la serra contre son torse de velours et en apprécia, le temps d'une seconde, la chaleur. De chaleur, il n'y en avait aucune. Cette enfant transpirait la froideur d'antan et le soleil couchant. Aussi froide que la neige, aussi rigide que la glace, elle en inspirait crainte et méfiance. « Non, je ne peux pas la confier. Je ne veux pas de cette meurtrière, mais je ne peux pas la céder. » Ses bras se raidirent tandis que l'enfant rejoignait la chaude étreinte de ce qui se révélera être, à l'avenir, son unique figure parentale. La grand-mère deviendra la mère de cette enfant, rejetée par un père. Un père comme déjà mort à ses yeux alors qu'elle n'était qu'en ce monde depuis quelques minutes. Un père qu'elle méprisait déjà férocement alors qu'elle n'était et ne sera qu'une enfant. Le corps d'une mère assassinée par la propre vie qu'elle avait soigneusement crée des mois durant ; cette même image qui la hantera. Et cette petite maison de bois, perdue au milieu des arbres et des paysages. Cette petite maison de bois qui terrorisera le monde par son infâme créature. « Elle sera le mal, l'Ondksa. » murmura la grand-mère tandis que ses pas résonnaient sur le vieux sol de la maison de bois.


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Un mince filet de poussière dansaient au milieu de la pièce, éclairée par les lueurs du feu. Agité par le vent qui pénétrait par la fenêtre ouverte, il chavirait de gauche à droite tandis qu'était allongée sur le sol dur l'enfant. Les bras fermement accrochés au vieux bois, les paupières closes et les lèvres entrouvertes, elle sortait une douce mélodie du fond de sa gorge. Comme un oiseau qui chante à la lueur du soleil, elle murmurait d'éclats et de charme mille orchestres. À quelques mètres d'elle, le vieux feu de cheminée réchauffait la pièce de ses hautes flammes, jusqu'à finalement s'éteindre par une bourrasque de vent. Alors, l'enfant ouvrit les yeux tandis que devant elle, s'étendait une infinité de noir. Comme plongée dans l'obscurité, elle se redressa. En son sein, les battements de son cœur s'agitèrent et ses pensées s'affolèrent. L'obscurité, elle la craignait. Elle la redoutait, elle la méprisait et elle l'évitait à chacun des instants. Elle avait, en elle, le besoin d'être rassurée par les rayons d'un grand soleil et d'un feu qui trônait fièrement dans une cheminée sans cesse allumée. Mais ce jour-ci, c'était le noir qui l'accueillait. C'était le noir qui la dévastait et qui la rendait follement terrorisée. « Ondksa. » entendit-elle, comme soufflé par le vent. Elle se mit sur ses deux pieds, le corps tremblant. « Père ? » chuchota-t-elle, à plusieurs reprises. Elle ne reçut aucune réponse, ni de la part des ténèbres, ni de la part de ces immondes brises qui s'infiltraient par la fenêtre. Debout dans la noirceur de la maison de bois, elle se mit à trembler davantage. Son corps s'agitait vainement, la crainte ancra ses membres et la rongea jusqu'à la moelle. « J'ai peur. » murmura-t-elle. Devant elle, la haute porte de la maison de bois s'imposait tandis que de l'autre côté, une ombre se dessina. « Père ? »  hurla-t-elle. Le froid la frappa subitement alors que dans l'encadrement, une silhouette nouvelle apparue. Entourée par les éclats de la neige et la lumière de la nuit, la douce voix de l'inconnue résonna. « Ondska. » lâcha-t-elle. La petite fille recula, tomba à terre et se replia sur elle-même alors que l'étreinte de cette femme nouvelle l'encercla. « Qui êtes-vous ? » demanda-t-elle, faiblement. Un rire de cristal s'échappa de ses lèvres alors qu'une main se tendait vers elle. « Je suis celle qui va t'enseigner la puissance, Ondska. » Et après quelques secondes d'hésitation, la petite fille attrapa la main de cette inconnue ; sa grand-mère.

Il y avait le faible murmure du vent qui traversait l'immense forêt tandis que s'agitaient les arbres. Par-delà l'horizon, les hurlements d'une bête féroce résonnaient. Son pas, lourd et menaçant, se gravait dans le sol couvert de neige alors qu'il s'avançait vainement à travers le paysage. Plus loin dans le ciel, les lueurs du soleil se dessinaient encore pour quelques heures et, sourire aux lèvres, Ondska inscrivait son parfum dans les écorces. À quelques mètres d'elle, l'homme au pelage de velours se dessina devant ses yeux de marbre. « Ondska. » murmura-t-il. Il l'avait cherchée pendant des hures, des jours et des semaines, mais l'impitoyable sorcière s'était enfuie dans son refuge d'antan. Sa maison de bois, perdue entre les arbres, avait été introuvable pour ce vilain. Et, hélas pour lui, la sorcière au cœur solitaire ne voulait être trouvé de quiconque.   « Ondska, délivre-moi du mal qui me ronge. » Comme implorant, il se jeta à genou sur le sol glacé et son regard de pitié se leva vers l'immense figure imposante de cette femme à la carrure si légère. « Toi. » lâcha-t-elle d'une voix froide, après quelques instants de silence. « Monstre infâme, que fais-tu dans ces bois alors que la nuit va tomber d'un instant à l'autre ? » Sa voix, douce et si calme, transperça la forêt et, au loin, des oiseaux s'envolèrent. Il était loin le temps où sa mélodie de cristal résonnait à travers le paysage comme un joli chant. Il était loin le temps où son corps frêle chahutait dans la neige, un sourire teinté sur le visage. Désormais, c'était une silhouette imposante. Un visage de marbre et une voix de glace qui fissurait l'âme de ses opposants.
Cœur solitaire, esprit amer. Elle représentait l'immonde bête banche qui sillonnait la forêt les nuits de pleine lune, alors qu'elle hantait les pensées de ce corps maudit. La sorcière de glace, au cheveux blanc et au visage pâle. À la fourrure blanche fermement accrochée autour de son cou, comme pour réchauffer son cœur mort. Et au rire de mille éclats qui s'échappait de ses lèvres livides alors qu'à ses pieds, son monstre favori la suppliait. « Ondska, ô grande Ondska, délivre-moi de ce mal qui me ronge. Je t'en supplie. » La sorcière posa son regard de glace sur ce corps si laid. La crasse ancrée sur sa peau, les longs cheveux blonds recouvrant son visage et ne laissant qu'apparaître ses yeux si noirs ; c'était son chef-d'œuvre. Son ultime talent, son infâme malédiction que de punir cet homme pour lui avoir volé sa fille. Son propre sang, comme souillé par cette créature répugnante. Il l'avait volée, l'avait salie de son corps et aujourd'hui, il en payait le prix. Aujourd'hui et à tout jamais.
Un sentiment noir et profond envahissait la sorcière alors que son regard, toujours aussi froid, scrutait cet homme. « Tu as trahi ma confiance. Aujourd'hui et jusqu'au dernier de tes jours, tu en subiras les conséquences. » Un râle inhumains s'échappa de son opposant alors que dans le ciel, la nuit arrivait. « Ondska, je te tuerai. » Un énième rire résonna à travers la forêt et sur le visage de cette femme cruelle, un sourire apparût. « Hélas, mon cher, tu n'en as plus le temps. » Un craquement perça son rire cristallin et devant ses yeux, une bête immonde remplaça la figure frêle de l'homme. Avec son pelage blanc et ses griffes d'un noir infini, il laissa échapper un grognement. Alors, la sorcière se laissa tomber à genoux. Son visage face à l'horrible museau du monstre, elle planta son regard dans le sien. « Cours. » ordonna-t-elle. Les pas de la gigantesque créature frôlèrent le sol tandis que son corps flasque s'évadait à travers les arbres. Au loin, alors que l'orchestre qui s'affolait au fond de son torse résonnait plus fort que jamais, il entendit un rire. Un rire de glace qui hantera son esprit torturé jusqu'à son dernier soupir.

C'est vraiment avec plaisir que je te valide.   Ta fiche est vraiment super belle. Trop triste mais superbe.
Par contre, juste un petit truc, la magie des sorcières n'est pas celle des fées déchues ou pas. C'est beaucoup moins instinctif. Tout est pratiquement fait à base de potions ou de sortilèges compliqués à mettre en place. Et la magie est très très complexe et dangereuse. Du coup, lorsqu'Ondska jette le sortilège sur son sbire, ça a du prendre du temps, et elle surement du ne plus pouvoir faire de magie pendant un petit moment. je précise juste pour que dans les rps tu puisses exploiter ce côté-ci egalement.  

VALIDE LA VIEILLE  

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