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 AGRABAH ⊰ Les fils du Désert

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Aerlinn In Tur

Aerlinn In Tur

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Premier Voyage : 20/10/2014
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MessageSujet: AGRABAH ⊰ Les fils du Désert   AGRABAH ⊰ Les fils du Désert EmptyLun 27 Avr - 20:08



Les fils du désert


le peuple du feu
Le peuple

« Le Sud. Ha le Sud ! Autrefois puissant et peuplé de grands guerriers. Et qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Des ruines. Et dans le vent l'écho de ces jours glorieux rugit encore parfois. Oh je n'ai pas connu la belle Agrabah au temps de sa grande beauté et de sa pleine puissance, non. Mais je sais tout, ou presque. Je sais ce que m'en a dis mon père qui tenait ces récits de son propre père, lui-même les ayant entendu de son père avant cela. Et toi aussi il faudra t'en souvenir. Puisse-t-on toujours se rappeler du Sud lorsqu'il n'était pas gouverné par des brigands mais par de grands et beaux sultans. Puisse-t-on toujours se souvenir du Sud comme de ce riche et grand royaume. » EXTRAIT DES MÉMOIRES DE GATRAN, FILS DE FERTUÏ, ÉRUDIT D'AGRABAH.

Le peuple du Sud, plus communément appelé « les fils du désert », furent jadis un peuple puissant et prospère. Les hommes étaient tenus en grande estime par les autres royaumes de par leur force et leur bravoure. D’aucun disait que « les fils du désert » étaient de grands guerriers. Outre leur capacité à se battre, ce petit bout de terre se suffisait à lui-même. Avant de s’ouvrir au monde et de marchander avec les autres peuples, les « fils du désert » vivaient de leurs propres terres et ressources. Principalement connu pour leur maîtrise de l’or, ils possédaient des animaux peu communs dans les autres royaumes ce qui faisaient d’eux des curiosités.

Après deux guerres et la chute d’Agrabah, ce peuple autrefois puissant finit par s’éteindre. Beaucoup quittèrent le désert pour s’installer dans des régions plus clémentes. Ceux qui y restèrent, périrent ou abandonnèrent leurs métiers respectables pour devenir des bandits, voire des assassins. Il ne reste rien de ce peuple d’autrefois hormis ce qu’en disent les légendes, les livres et les plus anciens. Certains descendants des « fils du désert » tentent désespérément de ne pas tomber dans l’oubli et de faire revivre un passé lointain. Le culte de Mêht est aujourd’hui presque éteint et trop rare sont ceux qui la prient. Beaucoup parmi les plus anciens pensent que c’est là la raison pour laquelle la déesse s’est détournée de son peuple.
L'éducation

Les terres du Sud ne sont pas connues pour leur système d’éducation, contrairement aux cités nordiques ou à celles du Centre. La seule cité capable d’accueillir des enfants pour l’éduquer est Agrabah. Nombreux sont ceux qui, vivant au milieu du désert, n’ont jamais pu bénéficier d’une éducation complète. Ceux-là se contentaient d’entendre les légendes du temps jadis, d’apprendre le métier de leurs parents et des techniques de combat rudimentaires. En revanche, les enfants ayant la chance de pouvoir rejoindre Agrabah se voyaient octroyer une éducation plus poussée auprès d’érudits. Dans la grande cour circulaire où l’enseignement était dispensé, des centaines d’enfants pouvaient se masser afin d’entendre conter l’Histoire de ce monde qu’ils apprenaient. On inculquait également l’art du combat aux garçons tandis que les jeunes filles s'appliquaient à la bienséance. Ceux qui le désiraient pouvait se joindre au culte de Mêht ou aux marchands afin d’apprendre le commerce. De manière générale, l’enseignement dans le Sud est très aléatoire et au bon vouloir de ceux qui le reçoivent. En revanche, l’éducation sexuelle est un sujet abordé systématiquement dans toutes les familles. Contrairement aux peuples du Centre et du Nord, le sexe est totalement libéré dans ces contrées. Les jeunes filles apprennent très vite à jouer de leur sensualité et on leur inculque les manières de donner du plaisir que ce soit à un homme ou à une femme (bien que les unions de deux êtres du même sexe soient interdites). Le sexe n’a rien d’un tabou pour le peuple du désert.

Le Sud de nos jours


« Le Sud ? Bah, vous donnez pas la peine braves gens ! J’en viens moi et jpeux vous dire qu’il en reste rien. Rien que du sable, du soleil et une chaleur à en crever. » UN VOYAGEUR

Les terres du sud sont aujourd’hui dévastées et son peuple a perdu tout ce qui avait fait un jour son prestige. Il subsiste d’eux des légendes racontées autour d’un feu, des murmures venant du port encore actif de Mi’Hen. Mais le peuple tout puissant des fils du désert n’est plus. Après la chute d’Agrabah et le départ des plus riches vers des terres plus prospères, le désert s’est peu à peu fermé à la civilisation. Il ne reste plus que quelques vielles familles de marchands vivant dans des conditions atroces. Le sud est désormais peuplé de mercenaires, bandits, pirates et autres mauvaises gens. Toutes les richesses et la beauté d’antan ont disparu avec Agrabah. Ceux qui parlent encore de ces terres les disent maudites et les évitent à tout prix. Pourtant, il existe encore des hommes et des femmes fidèles à leurs terres qui espèrent un jour, la revoir aussi grande qu’avant.

Le culte de Mêht ne s’est pas éteint avec la destruction d’Agrabah. Au contraire, il compte de plus en plus d’adeptes venus chercher le réconfort de la déesse. Ils prient pour une nouvelle vie. Une vie meilleure que, selon eux, seul le sud peut leur offrir.


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Aerlinn In Tur

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MessageSujet: Re: AGRABAH ⊰ Les fils du Désert   AGRABAH ⊰ Les fils du Désert EmptyLun 27 Avr - 20:08



Les coutumes


une façon de vivre
Le culte de Mêht

« Alors Mêht investit le Sud et y fit naître des Hommes puissants et robustes. Elle les dota d’une grande résistance à la chaleur et au feu et ils lui jurèrent allégeance. » EXTRAIT DU LIVRE “LE CULTE DE MÊHT”.

Depuis leur naissance, le peuple du feu voue un culte à la déesse du feu Mêht. Elle est la protectrice du désert et de ses habitants. Vénérée de diverses manières, les plus pauvres se contentent de la prier tandis que les plus riches, et la cité d’Agrabah, lui construisent des temples et mettent en place des cérémonies en son honneur. Ces cérémonies se déroulent toujours de nuit et peuvent durer plusieurs heures, bien que depuis le déclin d‘Agrabah plus personne n’en a fait. Les fidèles se réunissent pour prier et remercier la déesse pour ses bienfaits. Des torches sont alors allumées et brûlent jusqu’à tomber en cendres. De grands braséros sont enflammés et les pratiquants du Culte forment un cercle en psalmodiant d’anciennes prières. Là, un nouveau feu est allumé, entourant les pratiquants qui ne pourront sortir de cette prison de flammes que lorsque le feu aura cessé de brûler, ce qui dépend du bon vouloir de Mêht. Jusqu’à ce jour, la plus longue cérémonie jamais pratiquée a duré 9 jours. Personne n’oserait rompre le culte tant que les flammes ne sont pas toutes éteintes.

« Avance maintenant. Regarde dans les flammes. Marche à travers le feu et lave toi des péchés de ce monde. Vois ! La grande Mêht t'appelle en son sein ! » PAROLES RITUELLES PRONONCÉES LORS DE LA CÉRÉMONIE DU FEU

Le Culte de Mêht regroupe des hommes et des femmes consumés par un seul et même désir : servir la déesse du feu Mêht. Cet ordre, dont la naissance et le fondement sont attribués à Keyla « la rouge », est depuis toujours au fondement même de la religion des régions du Sud. Le Culte accueille les hommes et les femmes dès l’âge de 17 ans et ce jusqu’à leur mort. Ils ne prennent ni époux, ni épouse et ne peuvent donner naissance à aucun enfant. Ils sont dévoués, corps et âme à la déesse. Le Culte s’occupe lui-même des cérémonies en l’honneur de Mêht et, bien souvent, c’est là qu’ils recrutent de nouveaux adeptes. Afin de pouvoir effectivement se proclamer comme étant un adepte du Culte, et donc de pouvoir revêtir la toge rouge, la purification par le feu est nécessaire. Lors d’une cérémonie se déroulant à chaque nouvelle lune, les nouvelles recrues doivent traverser un mur de flammes. Au cours des siècles, peu sont ceux à avoir perdu la vie durant ce rituel. Beaucoup en ressortent avec des brûlures plus ou moins graves. La plupart en ressortent complètement purifiés et prêts à revêtir la toge rouge du Culte.

Une fois entré dans le cercle de feu on n’en ressort plus. Quitter le Culte de Mêht est une offense envers la Déesse et ne peut s’imaginer. N’entre pas dans le Culte qui le veut. Seuls les élus de la Déesse parviennent à franchir les flammes et à devenir l’un de ses adeptes. On ne décide pas d’appartenir au Culte un matin et de le quitter le lendemain. C’est une décision qui régie la vie entière du futur adepte et qui ne doit donc jamais être prise à la légère. Quitter le Culte est donc impossible ensuite, soit parce que la personne est dévouée corps et âme à la Déesse, soit que les membres du Culte le sacrifierons plutôt que de le laisser partir et salir le nom de la Déesse Mêht.

Le Culte s'organise d'une façon très simple depuis sa création et personne ne vient remettre cela en cause. Les nouveaux purifiés sont appelés les novices. Après dix années de services, ils deviennent frères ou sœurs du Culte. Enfin, après une nouvelle décennie de services, ils deviennent finalement prêtes et prêtresses et peuvent prétendre à des rôles plus importants au sein du Culte.

Pour plus d'informations merci de vous référez à cette annexe.
L'esclavagisme

« Allons, allons approchez ! Approchez ! J’ai de beaux spécimens, des donzelles pour votre plaisir messieurs et des braves gars pour le sale boulot ! » VENDEUR D’ESCLAVES SUR LE MARCHE D’AGRABAH

Le Sud est bien connu pour son trafic plus ou moins légal d’esclaves dont la provenance est souvent ignorée. Sur les marchés qui pullulent à travers tout le désert, il y a toujours au moins un vendeur d’esclaves qui réalisera de belles ventes. Les jeunes femmes sont vendues comme prostituées ou comme servantes dans de nobles maisons, les jeunes garçons, souvent moins recherchés, constituent une excellente main d’œuvre. Si cette pratique est dénoncée par les autres peuples de Vanàrillion, elle est courante dans le désert et se pratique encore aujourd’hui, bien que son succès n’égale plus celui d’antan.
Les marchés noir

« Hé psht, toi ! Oui toi ! Approche. Tu cherches quelque chose de précis ? J’ai des trucs là derrière qui feraient pâlir les Dieux eux-mêmes ! » UN MARCHAND DE POISONS

Depuis la chute d’Agrabah et l’errance du peuple de feu à travers le désert, des marchés peu recommandables ont fait leur apparition. Ils se déplacent chaque jour et sont souvent difficiles à trouver pour ceux qui ne les connaissent pas. Dans la langue commune ils sont appelés « marchés noirs » car ils réunissent des objets d’une noirceur sans pareille et des marchands peu scrupuleux. Vous n’y trouverez pas de fruits exotiques et encore moins d’animaux de compagnie. En revanche, vous trouverez un grand nombre de reliques magiques dangereuses, des poisons en quantité et des animaux dangereux.
Les combats

« Approchez, approchez ! Aller, 10 couronnes d’or sur la ptite pour monsieur ! Et pour vous ce sera quoi ? Ah ça je peux vous assurez qu’elle se défend la gamine ! » L'ANNONCEUR DES COMBATS LORS DE LA PRISE DES PARIS

Allant de pair avec l’esclavagisme, les combats illégaux se sont multipliés dans le désert. Hommes et femmes se battent pour la gloire et la richesse de leurs maîtres qui y gagnent une belle somme d’argent en cas de victoire. Ces combats étant toujours des combats à mort, dans le cas où son esclave est tué, le maître n’y gagne rien mais cela lui importe peu. La prochaine fois il placera un esclave meilleur qui lui fera remporter la mise. Cette pratique était totalement illégale lorsqu’Agrabah se tenait encore debout. Depuis sa chute, les combats se sont multipliés et sont monnaie courante dans le désert. Les esclaves en sont encore les principaux combattants mais depuis quelques années les combats s’ouvrent à tous. Les temps sont durs, chacun essaie de gagner sa pitance comme il le peut.


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MessageSujet: Re: AGRABAH ⊰ Les fils du Désert   AGRABAH ⊰ Les fils du Désert EmptyLun 27 Avr - 20:09



Les lieux


vestiges du passé
Agrabah : la cité d'or

« De l’or a perte de vue, des colonnes et des statues d’une beauté à couper le souffle. Les plus grands sultans se sont succédé en son sein jusqu’à sa destruction totale. » EXTRAIT DU LIVRE « LES SECRETS D’AGRABAH » PAR EDYAN L’ERUDIT

La construction d’Agrabah fût initiée par Caïn 1er en l’an 51. L’ampleur de son chantier nécessita le travail de milliards d’esclaves dont un grand nombre perdit la vie durant leur labeur. Sa construction s’acheva une quinzaine d’années plus tard sous le règne du fils de Caïn 1er, qui ne régna que peu de temps. Agrabah démontre toute la beauté et les goûts luxueux de ces grands sultans qui se sont succédés à sa tête. La cité est visible à des milles de distance et impose le respect à tous les voyageurs qui s’aventurent au plus près de ses remparts. Ceux-ci ont été façonnés de telle manière à ce que le soleil, en se reflétant sur ses murs, donne l’illusion d’être fait en or pur. Une illusion qui pourtant n’est pas totalement fausse puisque de l’or a bel et bien été utilisé ici et là pour la fabrique des murs extérieurs. Mais Caïn 1er ne désirait pas gaspiller ainsi de précieuses ressources et les utilisa plutôt pour le palais personnel des sultans. L’intérieur d’Agrabah est encore plus beau. Partout des statues à l’effigie de Mêht veillent et chaque bâtiment est soutenu par des piliers surplombés d’or. Partout où le regard se pose on est émerveillé par le luxe des couleurs et des matériaux. Rien n’a été laissé au hasard. Cependant, le plus beau reste à venir. Ceux qui ont eut la chance de s’émerveiller face au cœur même de la cité ne trouvent pas toujours les mots. Le palais d’Agrabah, aussi appelé le palais des sultans, fait la fierté du peuple du Sud. Ses plafonds sont jonchés d’or et de pierres précieuses donnant l’illusion parfaite que la pièce brille de milles feux. D’immenses lustres entièrement recouverts de diamants tombent des plafonds. Les murs sont recouverts de tapisseries murales entièrement confectionnés à l’aide de pierres précieuses en tout genre. Le sol de marbre ne saurait supporter qu’on le foule chaussé. Le trône où siège le sultan est entièrement fait d’or. Tout le palais a été créé dans le seul but de démontrer une puissance économique inépuisable.

Vint alors Aladdin, le dernier grand sultan du Sud qui avait pour épouse Jasmine dite « la belle infortunée ». Belle elle l’était, et très riche. Ce fût là la raison principale de ce mariage sans amour ni espoir pour Jasmine. Aladdin y voyait de nouvelles richesses et un nouveau moyen de conquérir d’autres royaumes. C’est son arrogance et son esprit malveillant qui conduisirent à la chute d’Agrabah et à la fin de la puissance du peuple du feu. Aladdin croyait fermement en l’idée qu’il pouvait devenir l’ultime roi de Vanàrillion mais pour cela il aurait besoin d’une aide plus grande que les richesses de sa femme. Le hasard et la destinée s’en mêlèrent et Aladdin fût amener à posséder une sphère maudite contenant un Djinn, sans doute le plus malin de tous. Il réussit à faire croire à Aladdin qu’il n’était rien de plus qu’un génie et qu’il pouvait exaucer tous ses vœux les plus chers. Ce qu’il fit en effet. Mais jamais Aladdin, aveuglé par sa soif de pouvoir, ne se douta du terrible prix à payer. Il précipita Agrabah à sa fin, la vidant de ses richesses, exilant ou exécutant ceux qui ne lui obéissait plus. Ainsi, la cité d'or se flétrit jusqu'à son abandon total. Le terrible Djinn, dans un dernier excès de colère, muait par le désir de blesser définitivement le jeune sultan, fit trembler la terre sous la ville, précipitant le palais sous le sable. Aujourd'hui il ne subsiste rien de ces lieux autrefois luxuriant. Rien, hormis des ruines jonchant le sable fin et le souvenir de jours heureux.
Le port de Mi'hen

« Bah ! Y a pu rien à Mi’Hen. Rien que des bandits qui vous tuerez rien que pour vous piquez vot’ chemise ! Pour sûr que c’était pas pareil à mon époque. Moi je vendais mon poisson et on me l’achetait à un bon prix. » PÊCHEUR SUR LES QUAIS DE MI'HEN

Le port de Mi’Hen a toujours connu une activité constante et ce depuis sa création. Il a fallu des milliers d’esclaves pour façonner l’image qu’il garde encore de nos jours. Le port est depuis longtemps reconnu par tout Vanàrillion comme étant l’un des plus prospère et intéressant. En effet, on y rencontre toutes sortes de personnes transportant toutes sortes de choses… A Mi’Hen on est certain de trouver son bonheur ! Aliments frais, vêtements et soieries, potions douteuses et animaux en tout genre attendent des acheteurs. C’est aussi un lieu de passage pour quiconque souhaite quitter les terres du Sud pour une atmosphère plus enviable. Ses bâtiments sont tous faits de pierres et abritent les marchands du port tous les jours. A ses deux extrémités les imposantes statues de pierres d'Oriel et de Deramar veillent sur les marins venant mouiller au port. A ses débuts, Mi’Hen était un port respecté où la contrebande y était rare sinon inexistante. Mais depuis la chute d’Agrabah et le déclin du Sud, le port n’échappe désormais plus aux bandits qui en ont fait un lieu de débauche. Il n’est pas rare d’y croiser pirates et autres corsaires des mers.
Le désert

« Trop longtemps le désert est resté sans surveillance. Mêht a délaissé son peuple ! Voyez mes amis, voyez ! Le vent souffle dans le sable et éveille les choses d’en bas. Prenez garde ! Prenez garde ! Ils arrivent… » PAROLES PRONONCÉES PAR UN VIEUX FOU SUR LE PORT DE MI’HEN

D’ici et là de vieux fous parlent de la fin du monde. Dans le port de Mi’Hen, dans les camps de fortune et sur les dunes de sable, partout s’entend le murmure des prophéties. D’aucun raconte que les morts s’éveillent sous le sable brûlant. Nul n’ignore ce qui se cache sous les profondeurs mais personne ne veut vraiment croire en ces paroles insensées. Pourtant, il est vrai que, depuis le début des temps, le peuple du feu enterrent ses morts dans le désert, sans sépultures ni sans lieux dédiés. Les morts reposent sous le sable et y pourrissent pour l’éternité. Guerriers, vieillards, femmes et enfants, tous y reposent sans distinction. Le désert s’est transformé en un cimetière dont les gardiens sont les morts.  Depuis quelques temps, on murmure que les morts s’éveillent dès la nuit tombée… Les plus jeunes vous diront qu’il ne s’agit là que de fables de vieux fous ! Mais les anciens y voient tout autre chose. Et si les morts venaient chercher leur dû ?


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MessageSujet: Re: AGRABAH ⊰ Les fils du Désert   AGRABAH ⊰ Les fils du Désert EmptyLun 27 Avr - 20:09



Créatures


le petit bestiaire du désert
Les Djinns

« Ceux sont de terribles créatures apparus il y a bien longtemps. Ils ne sèment que terreur et destruction. » PAROLES PRONONCÉES PAR LE GRAND PRÊTRE PELIOTH LORS D'UNE CÉRÉMONIE DE PRIÈRES EN 492

Les Djinns sont des créatures dont l’origine reste inconnue à ce jour. Sont-ce les Dieux qui les ont placés sur terre ? Sont-ils eux-mêmes des Dieux ? Cette dernière hypothèse semble la plus probable bien qu’elle demeure impossible dans l’esprit des Hommes. Si les Djinns étaient vraiment des Dieux pourquoi se montrent-ils si cruels ?

Ils prennent diverses formes et notamment celles des Hommes et plus rarement d’animaux. Seules leurs paroles étranges, leurs noms et leur comportement anormal, permettent de les différencier des êtres humains. Hélas, leur vraie nature est souvent découverte bien trop tard. Les Djinns sont extrêmement malins et intelligents et parviennent presque toujours à duper les êtres humains et donc à arriver à leurs fins. Les Djinns sont asexués et prennent toujours l'apparence qui convient le mieux à leur maître. Si c'est un homme, le Djinn se montrera volontiers sous une forme féminine et vice-versa.

Jusqu’à présent on a dénombré 7 Djinns ayant élu domicile dans le désert du Sud. Après le combat mené par le roi Kalim, ils furent emprisonnés dans 7 sphères disséminés dans tous le désert afin que nul ne puisse plus jamais les libérer. Cette précaution ne s’accompagna de nuls gardiens et ce fût-là la plus grande erreur commise par Kalim « Le Sage ». Abandonnées au creux de modestes autels, enterrées dans le sable, les sphères étaient à la merci de ceux qui les trouveraient. Et c’est ce qui arriva en 1055 lorsqu’Aladdin ramena de ses périples une sphère au cœur même d’Agrabah. Il libéra le Djinn prisonnier à l’intérieur et aveuglé par son désir de réussite, sa naïveté et son arrogance, il crut aux dires du Djinn. Celui-ci se fit passer pour le dernier de son espèce subsistant sur les terres de Vanàrillion. Ainsi, il exauça tous les souhaits d’Aladdin, se faisant passer pour un bienfaiteur, un ami dévoué. Ce n’est que plus tard que toute la perfidie du Djinn se dévoila. Les évènements qui s’en suivirent sont bien connus et constituent un autre conte…

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